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Dans la nuit du 13 au 14 mai, Bagnères-de-Bigorre a été le théâtre d’une série de vols surprenants. Deux jeunes hommes, déjà bien connus de la justice, se sont introduits dans le lycée Victor-Duruy, avant de tenter d’accéder à la sous-préfecture et à un salon de beauté. Repérés grâce aux images de vidéosurveillance, ils ont été interpellés peu après pour tapage nocturne, renforçant encore les soupçons à leur encontre.
Parmi les faits marquants de cette nuit de délit, un détail ne manque pas d’étonner : alors qu’ils explorent le lycée, l’un des cambrioleurs prend le temps de déguster un sandwich au foie gras. Ce qui aurait pu passer pour une simple escapade s’est transformé en un dossier judiciaire complexe, marqué par une longue liste de condamnations antérieures. L’un des objets volés, un ordinateur portable, a fini dans les eaux de l’Adour, scellant définitivement toute possibilité de restitution pour son propriétaire, un lycéen en pleine préparation du bac.
Lors du procès, les accusés ont invoqué différentes motivations : la précarité, l’alcool, et même la consommation de cocaïne. Si le tribunal s’est montré plus clément que le ministère public, les peines restent significatives : 16 mois de prison pour Georges, incluant une révocation partielle de condamnations antérieures, et 9 mois pour Roland, qui effectuera sa peine sous surveillance électronique avec obligations de soins et de travail.
Depuis novembre, une série de cambriolages et de tentatives d’effraction a frappé Bagnères-de-Bigorre. Les lieux ciblés étaient variés : une entreprise ferroviaire, la sous-préfecture, un lycée, et plusieurs commerces locaux. Les suspects, deux hommes d’une trentaine d’années déjà connus des forces de l’ordre, ont multiplié les méfaits jusqu’à leur arrestation en milieu de semaine.
L’enquête a connu un tournant décisif grâce aux images des caméras de surveillance, qui ont permis d’identifier les suspects. L’un d’eux a commis une erreur fatale : en baissant sa capuche pour croquer un sandwich oublié dans le réfectoire du lycée, il a révélé son visage aux enquêteurs. Grâce à un travail minutieux et à la collaboration entre différentes unités, les gendarmes ont pu remonter leur piste et les interpeller.
Les deux hommes ont reconnu les faits et attendent désormais leur procès en comparution immédiate. En attendant, ils sont placés en détention provisoire. Une affaire qui illustre l’importance des dispositifs de surveillance et l’efficacité des enquêtes de terrain.
Un violent incendie s’est déclaré samedi après-midi dans une maison du centre de Bagnères-de-Bigorre, causant des dégâts importants et blessant cinq personnes. Le feu, qui a débuté au premier étage de la maison, s’est rapidement propagé aux étages supérieurs et à la toiture, nécessitant l’intervention massive de 46 pompiers venus de plusieurs centres voisins.
Grâce à une coordination efficace et à des moyens impressionnants, les pompiers ont réussi à contenir l’incendie, évitant ainsi sa propagation aux maisons mitoyennes. Parmi les blessés se trouvent quatre occupants de la maison, intoxiqués par les fumées, dont deux ont également été brûlés. Un sapeur-pompier volontaire a également été blessé en secourant les occupants.
L’intervention a été particulièrement difficile en raison de l’étroitesse des rues environnantes et de la division de la maison en trois appartements. Malgré ces obstacles, les pompiers ont pu évacuer les habitants et sécuriser le quartier. Le maire de Bagnères-de-Bigorre, présent sur les lieux, a salué le courage et l’expertise des pompiers, soulignant que leur intervention a permis d’éviter un drame encore plus important.
Le 25 octobre, un homme a été sérieusement blessé à Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées, après avoir passé la nuit chez une femme qu’il connaissait à peine. Les secours ont été appelés en urgence pour le secourir, et il a été transporté à l’hôpital de Tarbes. La femme, âgée d’une cinquantaine d’années, a été placée en garde à vue. Selon les premières investigations, un conflit aurait éclaté entre eux, et l’homme aurait été frappé avec un objet tranchant. L’enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l’incident.
Le 29 décembre 2023, Benjamin Arnauné est décédé dans un incendie à Lesponne, et Tatiana B. a été mise en examen pour assassinat. Le procureur de la République de Pau a révélé que le couple était en cours de séparation et que Benjamin avait fixé un ultimatum à Tatiana pour qu’elle libère les lieux. Des éléments indiquent que Tatiana aurait pu se procurer une arme à feu avant les faits. Le rapport d’autopsie a confirmé que la cause du décès de Benjamin était un traumatisme craniocérébral par projectile d’arme à feu. Tatiana B. a été écrouée après sa mise en examen, mais elle restait introuvable malgré les recherches menées.
Tatiana B., l’ex-petite amie de Benjamin Arnauné, a été mise en examen pour assassinat et placée en détention après que le corps calciné de Benjamin Arnauné a été retrouvé à Bagnères-de-Bigorre. Elle a été interpellée suite à un incendie mortel et a avoué avoir tiré accidentellement sur son ancien compagnon avec un fusil. Prise de panique, elle aurait ensuite mis le feu à l’habitation avec une bouteille d’essence, envisageant d’attenter à ses jours avant de se raviser et de quitter les lieux. Les autorités poursuivent leurs investigations pour déterminer les circonstances exactes des faits et le contexte plus général dans lequel ils se sont produits.
Tatiana B., la principale suspecte du meurtre de Benjamin Arnauné, un rugbyman retrouvé calciné dans sa maison à Bagnères-de-Bigorre le 30 décembre 2023, a été arrêtée ce jeudi 4 janvier à Aurensan, son village natal. Elle était recherchée depuis plusieurs jours par les gendarmes qui ont pu la localiser grâce à des témoins. Selon le parquet de Pau, elle aurait tué son ex-compagnon par jalousie après une rupture difficile. Elle aurait ensuite mis le feu à la maison pour effacer les traces. Une information judiciaire pour assassinat a été ouverte.
Une information judiciaire pour assassinat a été ouverte à l’encontre de l’ancienne compagne de Benjamin Arnauné, suite à l’incendie mortel survenu à Lesponne. La victime, probablement un ancien rugbyman du Stade Bagnérais, n’a pas encore été formellement identifiée. Un mandat d’arrêt a été délivré à l’encontre de l’ancienne petite amie, mais elle n’a pas encore été interpellée. Les recherches se poursuivent, et un important dispositif a été mis en place par les gendarmes pour retrouver la suspecte.
Selon la procureure de la République, l’incendie mortel qui s’est produit à Bagnères-de-Bigorre, coûtant la vie à une personne non encore formellement identifiée mais dont on pense qu’il pourrait s’agir vraisemblablement d’un ancien rugbyman de 33 ans, aucune piste n’est pour l’instant privilégiée, et une information judiciaire pourrait être ouverte prochainement. Des recherches sont en cours pour déterminer les circonstances exactes de l’incident, notamment en lien avec la séparation de l’ancienne petite amie de la victime présumée. Les techniciens de l’identification criminelle et les pompiers poursuivent leurs investigations sur les lieux du drame.
Un incendie mortel s’est produit à Lesponne, dans les Hautes-Pyrénées, coûtant la vie à un jeune homme de 33 ans. L’ex-petite-amie de la victime est activement recherchée, et des éléments troublants ont été découverts, notamment la présence d’une arme et de taches de sang dans sa voiture. L’identité de la victime n’a pas encore été confirmée, et l’enquête se poursuit pour déterminer les causes de l’incendie.